L’auberge à la croisée des chemins [Rôle-Play masteriser*, multivers** – 4 joueurs]

Toutes les créatures de l’univers qui sont doté d’esprit, de créativité, d’espoir et d’émotion on une chose en commun – le rêve. Elles peuvent croire, au meilleur comme au pire, rêver tout éveiller ou dans les bras de Morphée au plus intime fantasme comme a un grand changement, a la chose la plus réelle mais aussi au plus banale. Imaginer un instant que de toutes les dimensions, que de tous les mondes. Il existe un univers entre ceux-ci, un point central entre les monde qui, inconnu de tous, permet a certains, tel un caprice du cosmos, du grand Tout, d’y voyager.

Un jour, dans votre endroit, vous êtes passé à cet endroit où vous passer très souvent que s’en étais banale, vous avez remarqué, derrière des arbres, dans un bosquet, dans une ruelle sombre, dans une caverne ou une montagne : une porte. Cette porte est visiblement spéciale : ronde comme la lune, aillant comme cadre 27 pierres portant des symboles sans importance, la porte de pruche raboté et vernis de larges madriers, possédant en son diamètre vertical une poutre d’acier trempé. De gros clous pyramidaux ornent la porte tels les coudes d’un dragon. Accroché par quelconque astuce, une pancarte est accroché a quelques pied du sol, comme si tous aurai pu la lire a l’endroit précis ou vous vous tenez. Les lettre au couleur d’ambre et d’acméiste peinturé et gravé a habilement vous présente l’invitation suivante dans une calligraphie étrange : Bienvenue a celui qui cherche réconfort de ce monde qui se meurt dans le cauchemar de la réalité Si vous toucher a la porte, elle est doucement chaude comme, quelque chose d’exothermique. Quelque soit votre raison, vous passer la porte de bois, la fessant pivoté légèrement vers l’avant vous permettant de vous y glisser. Doucement elle se referme derrière vous en grincent. Vous voyez alors un flow de lumière comme si la lune vous baignait de sa lumière à la vitesse d’un cheval au grand galop.

Puis le noir...

Vous passer de la fraicheur du vent et de l'humidité recouvrant les choses là où vous étiez a une chaleur douce d'un feu qui réchauffe votre peau. Vos muscles se détendent peu à peu et votre rythme cardiaque suis votre respiration qui se remplis de l'air apaisant. Une odeur, digne de votre enfance, la plus réconfortante sans doute, plane dans l’air tel un encens comestible qui vous laveriez les poumons de tout le chagrin que les années aurai put venir s’y goudronner. Vous entendez quelques tallons hauts claquer de temps à autres sur le planché de pierre de l'endroit, le crépitement de flamme a l'huiles qui s'excite lorsqu'il rencontre une impurté dans celle-ci l'éco devotre repiration qui vous reviens du plafond vous donnant l'impression d'une infentine petitesse.

Vous vous voyez des ombres, des formes, puis des contours des objets, des chaises, des tables, en grande quantité, un bar central avec de multiples flacons, bouteilles et ustensiles de cuisine dans divers états. Ensuite vous contemplerait plus facilement les larges flammes dans des coupoles de divers métaux de flammes de 8 couleurs au dessus de 8 autres portes identiques à la votre. Le plafond haut de 20 mètre relate un âge militaire de ce qui semble être une large tour de siège qui aurai pu entretenir 400 à mille hommes si on compte que cette tour semble avoir un étage (peut-être plus) dû au large escalier de pierre fessant le tour du bâtiment et qui monte vers jusqu’au plafond.